HOMINIS MENWAY
jeudi 21 Janvier 2010
27 milliards d’euros brassés en 2006, financés par l’entreprise et une centaine d’Organismes Paritaires Collecteurs Agrées (11 milliards, 41%), l’Etat (7 milliards, 27%), les Régions (près de 4 milliards, 14%) ou d’autres collectivités territoriales (près de 2 milliards, 6%), l’UNEDIC et autres administrations publiques (près de 2 milliards, 7%) et les ménages (1 milliard d’euros, 4%).
10 millions de stagiaires, 50 000 organismes dispensateurs de formations, près de 5 000 titres différents inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles.
Un dispositif, fruit d’accords entre partenaires sociaux, qui continue à se réformer pour devenir un outil déterminant des politiques d’emploi dans un contexte de chômage élevé et durable, pour combattre les inégalités de traitement en rendant l’accès à la formation plus large, plus égal et plus utile parce que capitalisable et transférable.
Mais un système critiqué pour sa complexité, son cloisonnement, sa transparence.
Et des questions légitimes auxquelles la réforme présentée lors de cette manifestation par le rapporteur à l’Assemblée Nationale du projet, et débattue par les membres de la table ronde, est supposée apporter des réponses.
Les utilisateurs du système de formation peuvent-ils s’y retrouver pour accéder à la formation la plus adaptée à leur cas ? Tous ont-ils les mêmes chances de bénéficier de la formation ?
Les fonds mobilisés sont-ils utilisés à bon escient ?
La formation professionnelle concoure t’elle bien à l’insertion des jeunes, au maintien de l’employabilité des salariés, au retour à l’emploi ?
10 millions de stagiaires, 50 000 organismes dispensateurs de formations, près de 5 000 titres différents inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles.
Un dispositif, fruit d’accords entre partenaires sociaux, qui continue à se réformer pour devenir un outil déterminant des politiques d’emploi dans un contexte de chômage élevé et durable, pour combattre les inégalités de traitement en rendant l’accès à la formation plus large, plus égal et plus utile parce que capitalisable et transférable.
Mais un système critiqué pour sa complexité, son cloisonnement, sa transparence.
Et des questions légitimes auxquelles la réforme présentée lors de cette manifestation par le rapporteur à l’Assemblée Nationale du projet, et débattue par les membres de la table ronde, est supposée apporter des réponses.
Les utilisateurs du système de formation peuvent-ils s’y retrouver pour accéder à la formation la plus adaptée à leur cas ? Tous ont-ils les mêmes chances de bénéficier de la formation ?
Les fonds mobilisés sont-ils utilisés à bon escient ?
La formation professionnelle concoure t’elle bien à l’insertion des jeunes, au maintien de l’employabilité des salariés, au retour à l’emploi ?
Permet-elle de répondre aux enjeux de développement des entreprises, à surmonter efficacement l’instabilité du marché de l’emploi et ses transformations ?
La manifestation s'est déroulée en présence de Gérard CHERPION, Député, Rapporteur à l’Assemblée Nationale du projet de réforme de la formation professionnelle continue